«Mon arrivée aux Champs de Booz a été pour moi le début d’une nouvelle vie. J’avais honte de raconter ce que j’avais subi, dans mon pays. Mais, aux Champs de Booz, j’ai été prise en charge, écoutée avec beaucoup de considération.

Un logement digne de ce nom m’a été donné et je suis bien avec ma colocataire. Je viens d’avoir mon statut de réfugiée. Mais comme je n’ai que 20 ans, je ne peux pas toucher le RSA avant mes 25 ans. Alors, Les Champs de Booz m’aide pour mon Pass Navigo et mes courses. Je suis maintenant en formation.

Pour moi, les Champs de Booz, c’est ma deuxième famille.»